Dans les colonnes du PARISIEN du 3 février 2010, un article traitait de la garde à vue des trois adolescentes, à la suite d'une bagarre devant un collège, qui a duré de dix à douze heures. L'une d'entre elle se prénommait Anne.
Dans les colonnes d'AUJOURD'HUI EN FRANCE du 10 mars 2010, un article traitait de Hocine qui a agressé son professeur à coup de bombe lacrymogène et a été placé en garde à vue une matinée (soit environ 3 heures).
Donc moralité, il vaut mieux s'appeler Hocine que Anne.
Il est grand temps de remettre de l’ordre dans le traitement des affaires.
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