Hier les banques géraient nos comptes, et permettaient, entre autre, les transactions d’argent liquide aux guichets. Aujourd’hui ça devient mission impossible.
Elles ont bien compris l’intérêt de créer des valeurs ajoutées du genre gestion de compte, de transferts, de dépôts, de retraits etc. pour pouvoir surfacturer dans la plus complète opacité.
On a commencé à toucher le fond, quand les banques ont voulues faire de l’assurance. Ce quelles nous volaient n’était plus suffisant.
Mais depuis quelques années, on est entré dans le grand n’importe quoi.
Certaines banques proposent le plombier ou l’électricien.
Aujourd’hui c’est au tour des téléphones.
Demain, ce sera la boucherie/charcuterie, l’épicerie etc.
Finalité, dans les 5 ans qui viennent, pour pouvoir créer une entreprise, il faudra d’abord créer une banque, qui proposera ensuite la peinture, la maçonnerie ou un quelconque corps d’état du bâtiment ou du commerce. Ceci n’étant qu’une vue de l’esprit. Bien que…..
Je ne pense pas que cette situation soit éphémère et s’oppose à la vision réductrice du citoyen moyen.
Bien au contraire la bêtise populaire tend à privilégier l’enseigne, à la qualité artisanale et au savoir faire.
Il est difficilement concevable qu’un organisme puisse savoir tout faire.
C’est attristant et représentatif de l’état de somnolence du peuple (preuve en est lors des élections) -tout en ignorant si cet état de fait est semblable dans d’autres pays-.
Si nous persistons dans cette voie, nous allons inexorablement vers un monopole, qui deviendra à terme un monopole d’état et par suite logique une administration.
Raccourci un peu simpliste, mais néanmoins réaliste.
Triste constat.
CQFD.
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