L'académie de Créteil a mis en ligne l'ouvrage élaboré par ses élèves, avant de le retirer.
L'initiative est belle, et son promoteur, Jean-Michel Blanquer, ancien recteur de l'académie de Créteil aujourdhui directeur de l'enseignement scolaire, en est fier. Un dictionnaire de 7 000 mots, entièrement rédigé par les élèves de cycle 3 (CE2, CM1 et CM2) de l'académie de Créteil. Le projet, réalisé en partenariat avec l'Académie française, doit permettre aux enfants de s'approprier les mots et d'accomplir un travail dont le résultat doit se concrétiser en un ouvrage auquel ils pourront se référer. Pour cela, 700 classes de l'académie se sont vu attribuer dix mots, à charge pour leur professeur d'organiser le travail de définition, le choix des exemples, des synonymes Le dictionnaire a été mis en ligne et l'expérience est à ce point plébiscitée que le ministère la généralisera l'an prochain.
Pourtant, certaines définitions de ce dictionnaire interactif ont de quoi surprendre. Et plus encore si lon se penche sur la version numérique, mise en ligne directement par les professeurs de chaque classe, et non sur la version papier, visée par le rectorat. Ainsi, le dictionnaire illustre le mot arabe par l''exemple : Je suis arabe et je fais l'Aïde (sic, corrigé dans la version papier), la conjonction de coordination induisant une nuance de conséquence qui laisse entendre que tout Arabe devrait célébrer l'Aïd.
Plus gênant, la définition des mots juif, chrétien ou bouddhiste. Dans la version validée par les professeurs après délibération de la classe, on lit : Juif, juive : nom commun. Ce sont des personnes dont la religion est le judaïsme. Ils ne croient qu'en un seul dieu. Exemple : Un juif va sinstaller dans notre immeuble. Pour chrétien, l'exemple est : Les chrétiens partent en croisade pour défendre le tombeau du Christ en Terre Sainte, étonnamment formulé au présent. Les bouddhistes, eux, sont censés croire en le dieu Bouddha . Les musulmans se voient gratifiés dune définition précise, dune origine et dune étymologie, de même que le mot ramadan, qui est défini comme un mois de jeun (sic) dans la version numérique. Grands absents du dictionnaire, les mots république et laïcité. Le français, lui, n'est que la discipline scolaire, et pas la langue parlée en France.
Nous avons pris les mots les plus courants de la langue française, plaide Dominique Roure, adjoint au recteur de Créteil, en charge du premier degré. Quant aux définitions, il ne faut pas les lire avec nos yeux d'adultes, ce sont les enfants qui les ont élaborées. Le rectorat n'est quasiment pas intervenu sur le sens, pour conserver cet aspect. La définition du mot juif a cependant été modifiée dans la version papier, l'exemple donné étant cette fois : L'histoire des juifs est décrite dans l''Ancien Testament. Même si la Torah eût été préférable, l'exemple passe mieux
Au ministère, on craint que ces phrases étonnantes ne fassent oublier la réussite éducative de l'expérience. Mercredi après-midi, le rectorat de Créteil avait retiré du site le lien vers la version numérique.(source: le figaro.fr sur le site http://forum.aufeminin.com).
Il était certain que le monde de l'éducation était vérolé par les bobos gauchistes, et pour certains collaborateurs des mouvances islamiques.
Ils gangrènent lentement les consciences de nos enfants.
Maintenant, nous sommes obligés de combattre sur tous les fronts.
Si rien n'est fait, nous seront islamisés par abandon.
Une petite phrase intéressante :
Formidable…
Ainsi donc, ceux qui ignorent le sens d’un mot ne l’apprennent plus grâce au dictionnaire, c’est le dictionnaire qui apprend le sens des mots… grâce aux ignorants !
Cela démontre que la troisième affirmation d’Orwell est vraie :
«La guerre, c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force.»
Et puisque «L’islam, c’est la paix» et que «La guerre, c’est la paix» alors «L’islam, c’est la guerre»
Tout se tient, la logique est respectée, c’est merveilleux, vive Orwell, vive la république métissée multiculturelle.
Le lien de BIVOUAC ID qui reprend le thème.